dimanche 31 mai 2015

les cloisons

23° dans le garage, idéal pour coller les cloisons. D'abord la cloison sous le pied de mat avec sa flèche de 25°. Positionnée avec de la plastiline, quelques points d'époxy 5min puis du tissus +/-45° et époxy.

Pareil pour le puits de dérive. Ca demande un peu plus de boulot car il passe à travers la coque.


Le cadre au niveau de la reprise d'écoute. 


Et le tableau arrière.


Il en manque une prévue au niveau de la poutre arrière, mais elle n'est pas encore fabriquée car je ne suis pas encore certain de sa position exacte. Il me faut installer les poutres et ça c'est un gros morceau. 

A suivre...

samedi 30 mai 2015

ça brille ! On se voit dedans!

Ca commence à prendre forme après plusieurs heures de ponçage au 120 à sec avec masque et lunettes, le fantôme de la vache folle disparaît peu à peu.
 

Et voilà le résultat après 1h de lustrage. Ce n'est pas parfait, mais pour une première et sans moule je suis assez content.


La coque sort à 7.5 kg sans les cadres de renfort ni le pont. Il reste environ 900g de gelcoat alors que j'en ai mis 2.5kg ! Bonjour la poussière de ponçage. L'idéal aurait été sans doute de passer le gelcoat au pistolet, cela aurait évité du boulot, mais je n'ai pas ce jouet.

A suivre le collage des cadre intérieur...


vendredi 15 mai 2015

Un moth vache

Après 48h de polymérisation, mauvaise surprise : il y a de nombreuses zones où le gel coat ne polymérise pas ; particulièrement là où il y a des renforts ajoutés et là où le carbone a été poncé. Plusieurs hypothèses avancées mais rien de très convaincant. (incompatibilité avec le carbone, traces de doigts, humidité, mauvais mélange???). Du coup nettoyage des zones poisseuses à l'acétone. 30min de boulot et 1/2 litre plus tard...

Ensuite ponçage avec des gants et passage de résine vinyle-ester sur les zones noires pour maximiser l'accroche du gelcoat polyester. La coque ressemble plus à une vache normande qu'à autre chose...

Re gelcoat (pot récent) catalysé à 2.5% et styrène à 4%, mélangé consciencieusement, grand soleil dehors



Le fantôme de la vache folle a encore frappé Il reste encore des zones poisseuses, moins mais toujours une bonne vingtaine de zones notamment encore sur les renforts! Par contre quand l'épaisseur est importante, pas de problème. Je soupçonne que c'est lié à l'épaisseur.


Du coup je recharge localement les zones noires avec de l'épaisseur et là ça prend. Ouf!
Reponçage partout et recouche (épaisse cette fois catalysée à 2% et styrène 3%). Nickel après une nuit à 17°.

Aujourd'hui ponçage au 80 puis 120. Ça commence à ressembler à quelque chose ; par contre j'ai eu la main un peu lourde on voit un peu le carbone par transparence mais au moins cette fois c'est dur et partout. La coque a pris 500g mais il me reste l'autre côté à finir et "gommer les traces grises.


C'est pas pour demain, plus de gel coat et une régate de planches dinosaure samedi et dimanche. Je ressort ma raceboard. Elle est toute jeune, elle a 20 ans!

A suivre...

samedi 2 mai 2015

Finition de la coque

Après la découpe du tableau arrière à la Dremel (gant, combinaison et lunettes obligatoires), bordurage du sandwich et pose de tissu d'arrachage pour améliorer l'état de surface.
Petit renfort aussi à l'endroit où il faudra percer le puits de dérive.


C'est bien beau le carbone, mais faute de moule, la coque n'est pas bien lisse. Alors étapes de finitions obligatoires.
Selon la recette d'Eric, une couche de résine vinyle-ester ( 250g) puis apprêt polyester (600g). La coque monte à 6.9 kg. Puis ponçage à la ponceuse excentrique et à la cale au 180 à sec. la coque redescend à 6.3kg.
Puis gel coat paraffiné : 2x300g. 

Il n'y a plus qu'à attendre avant la prochaine cession de ponçage...

Demain pause, petite régate de club à la ganguise. Pas encore en moth...